Pour mon mémoire de Master 2 professionnel de Journalisme Culturel, j’ai voulu à la fois étudier un objet qui me passionne et qui fait partie de ma vie (le ouaibe deupoinzéro) et mon expérience professionnelle (puisque ça faisait partie de la consigne du mémoire). N’ayant pas trouvé le contrat d’apprentissage que j’avais pourtant cherché activement (…), je me suis donc repliée (non sans joie, je dois bien l’avouer) sur mon CV-vidéo.
L’intitulé exact du mémoire est :
L’extimité au service du personal branding sur le web 2.0. (Exemple du CV-vidéo)
Exercice étrange que d’étudier son propre objet en parlant de soi à la troisième personne du singulier… :-/
Mais je me suis bien amusée (même si seuls les étudiants savent à quel point écrire un mémoire est un travail de titan qui peut rendre fou), j’ai parlé de 3 CV-vidéos différents (Nicolas Catard, Isabelle Moreau, Moi-Je), d’extimité, de personal branling branding, de storytelling et de Twitter (qui est d’ailleurs remercié dès la page 2).
Que tous les Twittos qui m’ont suivie pendant les mois de la rédaction de ce mémoire soient encore une fois remerciés.
J’ai obtenu la note de 14,15 ou 16/20, je sais pas trop, faudrait que je me renseigne, tiens.
L’extimité au service du personal branding sur le web 2.0 (PDF)