N’allez pas croire du tout que je fais dans le racoleur. Je me suis toujours refusée d’écrire le mot « sexe » dans les trois premières lignes d’un article pour un meilleur référencement, je m’y tiendrais encore cette fois-ci.
Je me suis juste fait la réflexion il y a quelques jours, quand j’ai écrit mon billet sur Barcella, que le sexe masculin avait eu droit à de nombreuses chansons, toutes plus différentes les unes que les autres.
Comme pour le Mur de Berlin ou pour les chiens, je me lance donc dans un billet musical thématique sur nos amies les bêtes la Bête.
Alors… bon… qu’on se mette d’accord tout de suite… LOIN-DE-MOI-L’IDEE de prendre à la légère un attribut aussi sérieux. Aucune blague n’aura sa place ici : elles en sont l’exact inverse si l’on en croit l’adage « les blagues les plus courtes sont les meilleures ». C’est cul Eve-Day, hein.
Ceci étant dit, voici ma sélection des chansons les plus représentatives de l’engin de ces messieurs – en laissant volontairement de côté toutes les chansons paillardes existantes qui mériteraient non un post mais carrément un blog à elles toutes seules.
Quelques chansons un peu coquines
Où les messieurs nus comme ces vers
Se font déshabiller la pine
Et les dessous de leurs affaires.
Ne croyez pas ce qu’on y dit :
La verge en serait fort marrie…
(Comment ? Ah, non, c’était pas une chanson, ça. C’était juste une transition. Ouais, cherchez pas.)
Le zizi drôle de Lynda Lemay
Honneur aux dames !
(Attendez. Finalement, je ne suis pas sûre de l’emploi de l’expression « honneur aux dames » dans un billet traitant de pénis. Bien. Je sens que ça va être plus dur que prévu…)
(Attendez encore. Je ne suis pas sûre de l’emploi de la phrase « je sens que ça va être plus dur que prévu » dans un billet traitant de pénis. Bien. ON VA Y ARRIVER olé olé.)
On ne peut pas retirer à Lynda Lemay, qu’on l’apprécie ou non, sa plume incroyable qui chatouille souvent là où ça fait mal. Les hommes en prennent souvent pour leur grade et c’est sur leur intimité qu’elle se penche (dans tous les sens du terme, oui oui…) ici.
C’est à pleurer de rire et, parité oblige, elle rend la pareille à ces dames par la suite…
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Le zizi choupinou de Barcella
Eh oui, je reviens dessus (…) (GNNN…) mais Barcella sait comment attendrir les filles avec son « moineau ». D’abord petit garçon angoissé puis adolescent complexé, il prend une revanche éclatante auprès de beautés décérébrées avec une verve verbiale dont lui seul a le secret.
Et d’ailleurs… en parlant de secret… Il a beau se défendre de tout texte autobiographique dans son album et accuser son pianiste en concert, le mystère rôde toujours : cette chanson sent-elle le vit-cul vécu ? Voilà qui mériterait une enquête journalistique approfondie… (PREM’S !!! Eh, oh.)
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Alors ça, c’est typiquement le genre de mec qui me hérisse le poil (que je… non, rien). Désolée, mais ce genre de mec à gros cigare, très peu pour moi. C’est du genre à fumer après l’amour, en plus. Berk. Os-kour, quoi.
(Ouais je sais, ça fait beaucoup de « genre », mais c’est dans le genre « mauvais genre », tavu.)
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Le zizi docte de Pierre Perret
Voilà un trublion chantant qui nous promet de « tout » nous apprendre sur le zizi. Mouais. Je suis pas convaincue, personnellement. J’ai pas eu l’air con, quand j’ai demandé où était « le grand cou » du premier zizi tout mou que j’ai vu, moi, tiens… (Enfin bon. Ca a eu le mérite de le faire rire, hein. Et homme qui rit… homme qu’on pécho, eh ouais.)
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Le zizi python des Monty Python
Et enfin, last but not least, la Chanson du Pénis tirée (non… ne dites rien) du film « Le sens de la vie » (ça tombe d’ailleurs sous le sens si je puis me permettre).
Trêve de commentaires débiles, place aux maîtres.
Si vous voyez d’autres chansons à ajouter, n’hésitez pas. En attendant, soyez fripons… mais sortez couverts !